skip to main |
skip to sidebar
"Ces
Lettres de Venise sont le reflet de mes propres promenades. Elles ne sont pas
rédigées comme des mémoires ; elles sont des lettres ouvertes que l’on peut
lire comme adressées à la femme aimée ou à son enfant. Elles sont remplies
d’images ramassées au cours de découvertes, de flâneries, de rêves aussi. Elles
sont vraies comme les personnages qui y apparaissent et qui ressemblent à tous
nos proches. Ils sont toutefois transformés parce qu’ils marchent dans les
calli et se perdent entre les rii. "
Il y a dans cette approche de Venise quelque chose de singulier, d’unique parce
que l’auteur n’est ni Vénitien, ni vraiment esthète, ni touriste. Il aime la
langue vénitienne qui n’est pas la sienne et fait de la cité sur l’eau une
personne proche que l’on présente à ses amis, à sa famille, que l’on fréquente
et qui marche à nos côtés parce qu’on marche beaucoup dans ces lettres. Il y a
ici comme un plaisir de Venise du coin de la rue. Et c’est d’un étrange
raffinement.
Collection L’Écrivain Voyageur, Ed. La Bibliothèque, 160 p. 15 ill. 14 €.
les bibliophiles seront ravis de savoir qu'ils ont le choix entre deux couleurs de couverture.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire